
L’entreprise emploie 3 000 employés au total et seulement 100 sont attitrés à l’extraction de l’huile, car le système est automatisé. Dans le second plan, ils doivent bien nettoyer et ajuster les machines dues au soya transgénique qui est utilisé à l’usine. Il y a 50 % du soya qui vient de la région du Parana et l’autre 50 % qui vient du Monto Grosso Sud. De plus, 70 % de la quantité des grains reçus vient des membres de la coopérative. La capacité totale est de 1 200 000 tonnes et est actuellement utilisée à 95 %, car ils prennent un mois pour la manutention (réparation des machines…).
20 % de l’huile est exportée par train ou camion pour la Chine et l’Europe. Le 80 % restant est raffiné pour la consommation humaine locale. L’huile est exportée brute et surtout utilisée pour les rations de chien. Le raffinement améliore la couleur, l’odeur et la saveur de l’huile, car après l’extraction, elle n’est pas comestible. Finalement, les résidus de l’extraction du soya composent à 90 % de tourteau de soya. Ce tourteau sert à l’alimentation de la volaille et les écailles de celle-ci pour celle des porcs. Présentement, nous sommes à l’automne au Brésil. Les agriculteurs récoltent les cultures de l’été. Donc, d’ici les deux prochains mois, les camions de soya vont arriver en quantité à l’usine. Pour ce qui est des trois autres variétés, ce sont plus des cultures hivernales.

Groupe 5 : Éléna Marsolais, Philippe Leclerc, Daniel Egli, Maxime Fontaine, Patrick Landry
Bonjour la joyeuse bande de GEEA
RépondreSupprimerUn petit bonjour du Québec sous la pluie pour vous dire que je trouve vos comptes-rendus très intéressants. J'espère que vous profitez aussi des autres aspects de la vie brésilienne, sans abuser de la patience de vos accompagnateurs. D'ailleurs, dites-leur bonjour et un petit mot d'encouragement de ma part SVP!
Je vous souhaite une belle suite de voyage et continuez de nous donner des nouvelles, c'est très plaisant.
Jacques Godbout, prof.